Les parents se bougent contre la hausse des prix des garderies à Schaerbeek. Catherine Moureaux les soutient dans cette démarche. Premier recul de l’échevin de l’instruction publique, Michel De Herde. Interview dans la DH de ce 5 septembre 2013.
Politique, revue des débats: échanges entre Catherine Moureaux et David Pestieau ( PTB) concernant le retour de la gauche radicale
Débat entre Catherine Moureaux ( PS) et David Pestieau ( PTB) dans » Politique, revue des débats » de septembre – octobre 2013 intitulée » le retour de la gauche radicale: entre espoir et impasse ».
Catherine Moureaux, de retour au Parlement bruxellois
Catherine Moureaux, l’actuelle chef de cabinet du secrétaire d’Etat Rachid Madrane, redeviendra députée bruxelloise vendredi, en tant que suppléante d’Olivia P’tito, celle-ci ayant quitté l’hémicycle pour occuper le poste de présidente de Bruxelles Formation. Au cabinet du secrétaire d’Etat, Catherine Moureaux cédera sa place de directeur de cabinet à Arnaud De Backer, actuellement conseiller juridique au cabinet Madrane. Fille du ténor socialiste Philippe Moureaux et de la présidente de l’assemblée bruxelloise, Françoise Dupuis, Catherine Moureaux avait rejoint il y a quelques mois, le cabinet du nouveau secrétaire d’Etat Rachid Madrane, en provenance du parlement bruxellois qu’elle avait dû quitter pour laisser la place à Emir Kir, le prédécesseur de Rachid Madrane. Ce dernier avait rejoint quant à lui la commune de Saint-Josse pour y occuper le maïorat, et le parlement régional. Catherine Moureaux a expliqué son départ du cabinet d’une part par son retour au parlement bruxellois, en tant que suppléante appelée à siéger, et d’autre part par la venue de son deuxième enfant, qui doit naître à la rentrée. Elle s’est dite « particulièrement heureuse d’avoir participé à la conclusion de la 6ème réforme de l’Etat dans le domaine de la propreté publique. Cette réforme extrêmement difficile a permis de maintenir l’emploi public et va permettre d’améliorer la propreté dans les quartiers. Mais le rythme de vie d’un chef de cabinet est très éprouvant. Or je souhaite pouvoir accueillir mon bébé dans de bonnes conditions et accorder du temps à ma famille », a-t-elle expliqué lundi. –> Lire l‘article de LA LIBRE et de la DH
RDR: le parlement bruxellois précurseur en Belgique
Le secteur de la Réduction des Risques traverse de grandes difficultés : sous-financement à caractère chronique, sentiment de manque de légitimité, cohabitation difficile avec le pouvoir judiciaire et inquiétude par rapport à la Réforme de l’Etat entachent le moral des travailleurs. Interpellés par les acteurs du secteur, la commission santé du Parlement Francophone Bruxellois (PFB) a effectué tout un travail sur la thématique.
Taxes sur les immeubles inoccupés: intervention de Catherine Moureaux au Conseil communal
Conseil Communal du 27 février 2013 à Schaerbeek. Point sur les nouvelles taxes sur les immeubles inoccupés. Question de Catherine Moureaux concernant la projection en terme de nombres d’immeubles concernés et en terme de recettes pour ces taxes. Demande de précision concernant la notion d’ « immeuble négligé » et la durée d’inoccupation fixée à 12 mois. Proposition de rectification dans le texte proposé concernant l’exonération pour les bâtiments qui appartiennent au pouvoir public. Lire le débat et les interventions complètes de Catherine Moureaux.
Nombre de classes organisées dans l’enseignement: intervention de Catherine Moureaux au conseil communal
Conseil communal du 27 février 2013. Interpellation de Catherine Moureaux concernant la suppression des places ouvertes à Fernand Blum et à Emile Max au vu de la croissance importante du nombre d’inscriptions dans ces écoles et demande de précisions en lien avec l’élargissement en parallèle des murs de Frans Fischer. Lire le débat et les interventions complètes de Catherine Moureaux
La campagne de recrutement du SIAMU et la gestion de la diversité
Interpellation de Mme Catherine Moureaux à M. Christos Doulkeridis, secrétaire d’État à la Région de Bruxelles-Capitale, chargé du Logement et de la Lutte contre l’Incendie et l’Aide médicale urgente, concernant « la campagne de recrutement du SIAMU et la gestion de la diversité ». Commission des Affaires intérieures – 8 novembre 2012 Mme Catherine Moureaux.- Il y aurait actuellement une demi-douzaine de femmes employées sur 1.000 personnes au corps opérationnel ou au Siamu. Et il me revient que ces femmes sont cantonnées à la caserne de l’Héliport, car ailleurs, les infrastructures ne permettraient notamment pas l’usage de douches séparées de celles des hommes. Il me revient également, et je pense que c’est une information objective dont vous pourrez disposer très facilement, que parmi cette demi- douzaine de femmes, il n’y a qu’une femme officier. Par ailleurs, il semble qu’il n’y ait actuellement qu’une quinzaine de personnes issues de la diversité parmi le personnel opérationnel du Siamu, et qu’en juin, ces personnes étaient régulièrement réunies dans les mêmes postes et se voyaient affecter des tâches décrites comme plus pénibles que d’autres. Par rapport à cette situation, quelles mesures ont-elles été ou seront-elles prises pour que l’intégration des femmes et des personnes issues de la diversité se passe mieux qu’actuellement ? (Remarques) Par ailleurs, vous avez procédé lundi à un arrêté de nomination de 50 personnes. Pouvez-vous me confirmer qu’il ne s’y trouve aucune femme ? En outre, on n’y trouve que cinq candidats issus de la diversité, ce qui est peu. Enfin, combien trouve-ton de Bruxellois parmi ces 50 personnes nommées ? J’en viens à l’essentiel de ma question, qui concerne la campagne de recrutement, et singulièrement sa partie diversité. Vous aviez-vous même déclaré que la diversité serait un axe fort de la récente campagne de recrutement du Siamu. La mixité des genres et des origines est loin d’être une réalité au sein de ce service. Elle nécessite la combinaison de plusieurs recettes pour aboutir à un corps opérationnel plus représentatif de la sociologie bruxelloise dans toutes ses dimensions. L’intention affichée durant la campagne de recrutement est louable et s’impose aujourd’hui comme une évidence. On commence d’ailleurs à traiter couramment les questions d’origine en plus des questions de genre. Mais il faut dépasser le stade de l’intention, car un échec serait particulièrement dommageable. Il était question d’organiser quatre épreuves : tests physiques, tests psychotechniques, observation comportementale et entretien de motivation. Où en est-on aujourd’hui dans la campagne de recrutement ? Qu’ont donné les étapes déjà franchies ? Combien de personnes se sont-elles engagées ? Et combien ont réussi ? Combien de femmes ou de personnes d’origines socioculturelles différentes se sont-elles présentées aux épreuves ? Et combien ont réussi ? Il me revient qu’un grand nombre d’échecs a été constaté aux épreuves physiques. En soi, cela ne veut rien dire : il faut qu’un certain niveau physique soit atteint, dont on espère qu’il sera en rapport avec la fonction. Certains observateurs jugent cependant que l’organisation de ces épreuves n’a peut-être pas été optimale. Lors d’un exercice de traction des bras, on aurait, à l’issue du test, expliqué que les personnes ne faisaient pas le bon geste, au lieu de le signaler pendant l’exercice. En outre, un grand nombre de tractions auraient été réalisées, alors que sept seulement étaient demandées. Les mêmes observateurs, qui critiquent l’organisation de cette épreuve, s’étonnent du fait qu’elle n’ait pas été concertée avec les éducateurs physiques en charge des examens internes et de l’entraînement physique au sein du Siamu. De manière générale, la procédure de recrutement était une procédure mixte, partagée entre le Selor et le Siamu : le Selor se chargeait des tests psychotechniques et le Siamu, des tests d’aptitude physique, de l’évaluation du comportement en groupe et de l’entretien de motivation. Vous conviendrez qu’au moins deux de ces étapes – l’évaluation du comportement en groupe et l’entretien de motivation – incluent potentiellement une grande part de subjectivité. Quand il y a de la subjectivité dans un examen, une série de mécanismes peuvent se mettre en place. On peut voir apparaître du népotisme ou d’autres formes de déviances par rapport à ce qui serait souhaité en termes de transparence ou de choix de critères. La question de la diversité, pour un corps comme celui du Siamu où ce n’est pas la pratique habituelle, pourrait être mise à mal par un manque de critères, un manque de transparence ou un manque de formation des opérateurs del’examen. Confirmez-vous que les étapes du recrutement que j’ai citées ont été confiées au Siamu ? Un représentant de Selor était-il présent lors des étapes du processus ? Quelles étaient les consignes données en matière de diversité pour l’organisation de ces étapes ? Les agents qui composaient les jurys étaient-ils formés aux techniques de recrutement et à l’évaluation du comportement en groupe, s’agissant d’une épreuve tout à fait particulière ? Qu’en est-il de leur formation à la diversité ? Globalement, je voudrais savoir ce que vous avez mis en place pour favoriser la diversité lors de ces examens. En relation avec les interpellations précédentes, mais aussi avec toutes celles que j’ai pu entendre depuis mon arrivée au parlement concernant le Siamu, je voudrais savoir où en est la procédure de sélection des fonctionnaires dirigeants. Ce sujet planait tel une ombre sur les interpellations. Sans fonctionnaires dirigeants, vous n’avez peut-être pas les bonnes informations ! […] Mme Catherine Moureaux.- J’imagine que vous préféreriez qu’il y ait des fonctionnaires dirigeants, qui aient été sélectionnés sur la base des bonnes questions, des bonnes compétences, des bonnes capacités, pour que vous puissiez répondre au mieux à nos questions et que le meilleur service soit assuré. Dans quel délai peut-on attendre une prise de fonction d’un fonctionnaire dirigeant et d’un fonctionnaire dirigeant adjoint ? […] Mme Catherine Moureaux.- Vous pourriez vous fonder sur l’ordonnance Madrane. Même si cela pose problème, des moyens existent. […] Mme Catherine Moureaux.- À une publication au Moniteur belge du 6 novembre 2012 : « Par arrêtés ministériels de la Région de Bruxelles- Capitale, du 3
Le transfert des charges de l’ONEM vers le CPAS bruxellois suite à la mise en oeuvre du plan d’accompagnement des chômeurs
QUESTION ORALE DE MME CATHERINE MOUREAUX À MME BRIGITTE GROUWELS ET À MME EVELYNE HUYTEBROECK, MEMBRES DU COLLÈGE RÉUNI, COMPÉTENTES POUR LA POLITIQUE D’AIDE AUX PERSONNES , concernant « le transfert de charges de l’ONEM vers les CPAS bruxellois suite à la mise en œuvre du plan d’accompagnement des chômeurs ainsi que l’impact des nouvelles réformes du régime du chômage ». Commissions des Affaires sociales 7 novembre 2012 Mme Catherine Moureaux.- Dans la suite de mon interpellation sur le transfert de charge des chômeurs sanctionnés de l’ONEM vers les CPAS bruxellois en juillet, je voulais faire le point de manière concrète sur cette question. Depuis le 1er novembre, la dégressivité des allocations de chômage est d’application. C’est la dernière mesure concernant les travailleurs sans emploi à entrer en application, après l’allongement du stage d’attente et la restriction des critères d’emploi convenable qui sont d’application depuis janvier de cette année. Il faut plus que jamais que notre Région dispose rapidement de chiffres sur les effets prévisibles de ces mesures afin que nous puissions réclamer notre dû, conformément à l’accord de gouvernement au niveau fédéral du 1er décembre 2011. Étant donné la complexité de la matière, le nombre de personnes concernées et les montants en question, nous sommes dans l’urgence, même si l’impact des mesures prises par le gouvernement ne se fera probablement sentir dans toute son ampleur qu’à partir de 2015. En juillet dernier, vous m’aviez expliqué qu’un groupe de travail serait créé au sein de la conférence interministérielle « intégration dans la société », notamment pour évaluer l’impact budgétaire pour les CPAS desdites mesures. Pouvez-vous me dire où en est le groupe de travail sur cette question ? Où en êtes-vous dans le processus de récolte des chiffres qui nous font défaut ? […] Mme Catherine Moureaux.- J’ai lu dans des comptes rendus de discussions à La Chambre, datant de la fin du mois de juin, que Mme De Block parlait de mettre en place un système de monitoring avec la ministre de l’emploi et les trois coupoles de CPAS. Il s’agit sans doute de deux dispositifs distincts. Ce n’est probablement pas le même que celui dont vous parlez. Pourriez-vous me le confirmer ? Quelle est la place des CPAS et des fédérations de CPAS dans votre travail actuel ? […] Mme Catherine Moureaux.- Qui sera votre interlocuteur au niveau des CPAS ? Accédez au compte-rendu complet en cliquant ici !
Schaerbeek en mieux! Avec les jeunes…
Découvrez le projet des jeunes schaerbeekois pour les élections communales
Elections 2012 à Schaerbeek: un enjeu : la création de places dans les écoles et les crèches
Mon intervention dans le journal Le Soir à propos au sujet de la création de places dans les écoles et les crèches à Scherbeek. Référence de l’article : Fabrice Voogt, » Clerfayt-Durant-Grimberghs: trio de papier à Schaerbeek. » in Journal Le Soir, p. 19, 10/10/2012.